Coup d’Etat militaire en gestation en RDC?
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POLITIQUE 12 juin 2015
RDC: LE SENATEUR MUTINGA VAT IL OPERE UN COUP D’ETAT EN RDC AVANT LES ELECTIONS DE 2016 ?
En RDC, Suite a des révélations de la presse locale, des sérieux soupçons pèse sur le sulfureux Sénateur Modeste MUTINGA.
Ce dernier qui est supposé être de la Majorité Présidentiel mais, qui soutient toutes les thèses de l’UDPS (parti politique de l’opposition), qui est a la fois Sénateur, journaliste avec son très controversé journal « Le Potentiel », et homme d’affaire avec l’entreprise chinoise (douteuse) de distribution de chaines de télévision numérique STARTIME. Vous l’aurez compris Modeste MUTINGA, est loin d’être Modeste.
Mais, la question qui passionne les débats en ce moment dans la capitale RD Congolaise, Modeste MUTINGA vat il réellement tenté un coup d’Etat ? Répondant à la question, Antoine GLAZER journaliste de RFI expert de l’Afrique et spécialiste de la politique RD Congolaise, affirme que « MUTTINGA réunit tout les moyens pour réalisé pareil projet, avec le soutien international dont il dispose notamment avec les canadiens, les norvégiens, les suédois et les chinois. »
« Sa relation complice et avéré avec l’officier dissident John TSHIBANGU ; Modeste MUTINGA fait parti de ces notables de la province du Kasaï occidental qui ont contribué efficacement a ce que John TSHIBANGU échappe à la justice RDC Congolaise en 2012, et garde de tres bonnes relations avec ce dernier jusqu’à ce jour, en même temps, quand on connait la solidarité Kasaïenne, comment en aurait il pu être autrement ? » précise notre expert RFI.
Notre expert analyse également que : « Modeste MUTINGA est très remonté contre le Régime KABILA, on peut le voir chaque jour dans les titres partisans de son journal le potentiel, dans ses publications tel que : la République des Inconscients ; dans ses prises de position au niveau de son parti politique le Mouvement Social pour le Renouveau (MSR) etc. Donc, Modeste MUTINGA a les moyens, le mobil et l’opportunité de réalisé son Coup d’Etat. Reste à savoir si les 2 Kasaï lui feront entièrement allégeance, condition incontournable pour réussir un tel pari dans le contexte actuel congolais»
Les chances pour le Sénateur MUTINGA d’opéré un coup d’Etat en RDC sont désormais quasi nul car sont projet machiavélique circule abondement sur la toile et devrait plutôt s’inquiété de son sort car les autorités congolaises ainsi que les services de renseignement sont certainement déjà saisie de son cas et surement lui posé quelques question. Wait and see…
Par Christophe BOISBOUVIER. | RFI
Coup d’Etat militaire en gestation en RDC : 1 Sénateur, 2 Généraux, 4 Colonels et 1 Chef de Corps impliqués
Coup d’Etat militaire en gestation en RDC : 1 Sénateur, 2 Généraux, 4 Colonels et 1 Chef de Corps impliqués
13 juin 2015 Coup, d’Etat, militaire
Des réunions préparatoires auraient eu lieu notamment à Bruxelles, Johannesburg, Kinshasa, Brazzaville et du coté de Kananga et Mbuji-Mayi dans les deux Kasaï, occidentale et oriental.
Décidément, bien malgré l’évolution de la situation politique actuelle avec, notamment les consultations Présidentielles menées par le Chef de l’Etat Congolais Joseph KABILA, certains ressortissants de la province du Kasaï, convaincues qu’ils avaient gagné les élections de 2011 avec leur leader TSHISEKEDI, ne croient plus aux élections et se préparent a arraché le pouvoir par les armes.
Ces politiciens qui ont toujours dit non à la tenue des élections n’entendent pas baisser les bras. Depuis quelques temps, et ce, suite à la contestation des résultats du scrutin par la mouvance Tshisekediste et par l’église catholique des élections de 2011. L’idée de la mise en place d’une nouvelle Transition ou d’une Transition bis (c’est selon) commence à refaire surface. L’on a assisté ces derniers temps à la déclaration de certains politiciens proposant la mise en place d’un gouvernement de consensus ou d’union nationale comme solution a l’échec du Gouvernement dit de Cohésion Nationale issu des Concertations Nationale aux quelles les partis phares de l’opposition (UDPS et UNC), n’avaient pas participés. Parallèlement à ces démarches, l’on a également appris que les casernes sont aussi en ébullition. En effet, d’après les renseignements, un nouveau coup d’Etat militaire serait actuellement en gestation. En vue de la préparation de cette « action », plusieurs réunions d’Hommes en treillis dirigés par un homme politique de haut niveau, auraient eu lieu depuis la défection en 2012 de John TSHIBANGU. Ces réunions qui se seraient tenues notamment à Bruxelles dans le QG d’HONORE NGBANDA, et qui aurait également connues la participation de ROGER LUMBALA et présidé par le Sénateur MODESTE MUTINGA MUTUISHAYI qui revendique d’être le Kasaïen le plus élevé en dignité en ce moment.
Les réunions de Kinshasa se sont tenues pour leurs parts, dans la résidence du Sénateur MUTINGA à Macampagne sur av Allé Verte, et dans le Kasaï occidental, les messes noires se sont tenues dans une parcelle qui est supposé abrité le siège d’un parti politique dont le Sénateur est un Haut cadre.
Durant ces réunions, le Sénateur MUTINGA a prit pour habitude de déclaré avec arrogance que « si il est prêt à échangé sa plume contre la kalachnikov, c’est parce qu’en intellectuel averti, il sait tirer les leçons des échecs des MUKUNGUBILISTES, du général Godefroid NIYOMBARE au Burundi etc. »
Politiques-politiciennes. Selon nos sources, deux Officiers Généraux et quatre Colonels figurent parmi les instigateurs de ce projet. Des Officiers supérieurs dont nous possédons le nom et que nous révèlerons au fur et à mesure de l’évolution de la situation sur le terrain. D’ailleurs, ce renseignement serait pris au sérieux au niveau des hautes sphères des Forces Armées Congolaise (FARDC). Et ce, dans la mesure où contrairement aux précédents rumeurs de projet de mutinerie et/ou de coup d’Etat militaire, des hauts cadres politiques seraient impliqué dans cette nouvelle menace dont la mise en œuvre est prévue avant la tenue des élections présidentielles de novembre 2016 prochain au plus tard. Par ailleurs, à croire nos sources, certains Sous-officiers et des Hommes de troupe issus des Forces Armées Congolaise (FARDC) et de la Police Nationale Congolaise (PNC) seraient également dans le coup.
Reconnaissance internationale. L’objectif serait de remettre les pleins pouvoirs à un politique originaire du Kasaï parce que ceux-ci considèrent avec force que « c’est notre tour ». Le nom de l’ancien Président de la Haute Autorité des Médias et actuel Rapporteur du Bureau du Sénat, le Sénateur MODESTE MUTINGA MUTUISHAYI est notamment cité comme le futur président de cette nouvelle Institution transitoire qui ne bénéficiera certainement pas de la reconnaissance internationale. Dans quelques temps, des tracts produits dans son imprimerie du journal Le Potentiel, relatifs à ce projet seront véhiculés au niveau des casernes.
L’on peut alors se posé la question : que font les différents services de sécurités du régime Kabila tels que l’ANR, la DEMIAP et le CNS ? Pour ne cité que ceux là, le projet du Sénateur MODESTE MUTINGA bénéficierait il de complicité a ces niveaux là ? Wait and see.
En tout cas, cette affaire risque de diviser davantage les Hommes en treillis qui ont toujours été frappés par la scission depuis 2006. La question est de savoir cependant si le peuple de la République Démocratique du Congo, las des politiques-politiciennes et des effets néfastes de la crise et qui a soif d’un vrai changement, acceptera de suivre hasardeusement cette nouvelle « manœuvre machiavélique » du Sénateur MODESTE MUTINGA MUTUISHAYI.
RDC: UN SENATEUR POUTCHISTE !
COUP D'ETAT EN GESTATION...
Des révélations troublantes d’un agent des services de renseignements belges d’origine rd congolaise font état d’une tentative de coup d’état avenir en république démocratique du Congo. En effet, le Sénateur MOUTINGA qui s’organise depuis un bon bout de temps serait sur le point de passer à l’action.
Le sénateur n’attendrait plus que le prochain déplacement du président Kabila pour un sommet africain pour que son poulain John TSHIBANGU, cet officier rebelle a la tête d’un mouvement insurrectionnel au sein de des FARDC en 2012 puisse passer a l’action, le go lui sera donner via le Potentiel, le journal du sénateur, par un titre codé.
Selon l’agent des services renseignements belges d’origine rd congolaise qui a infiltré le complot : « le sénateur MOUTINGA a multiplié les voyages vers la Belgique ces dernières années avec un objectif claire, arraché le pouvoir par la force » et pour ce faire il s’est donné les moyens, après avoir occupé pendant près de dix ans la fonction de rapporteur du bureau du Sénat, après avoir installé l’entreprise commerciale startime de manière mafieuse (des millions de dollars échapperait au fisc congolais chaque mois), il s’est créer son réseau notamment avec les Canadiens de FIRST QUANTUM pour ne cité que ceux la.
En effet, toujours selon l’infiltré : « MOUTINGA a rencontré NGWANDA a chacun des ces voyage effectué en Belgique » et la répartition des postes est déjà acté : « MOUTINGA Président, NGWANDA Premier Ministre, le Général MOUNENE Ministre de la Défense, François BEYA KASONGA Ministre des affaires étrangères et John TSHIBANGU chef d’état major ».
« La machine du sénateur est bien huilé, il a pensé a tout » affirme notre source. « Son fils Christian MOUTINGA, (un combattant) est un délinquant multi récidiviste bien connu des services de police de Bruxelles, qui joue le rôle de relais entre le Sénateur et NGWANDA, c’est par ailleurs a ce titre qu’il aurait joué sa partissions dans l’agression du Président du Sénat LEON KENGO WA DONDO a Paris en 2013, sur les informations lui fourni par son père le sénateur MOUTINGA. » révèle l’agent de renseignement belge.
Le Congo et l’Afrique n’ont pas besoin de ce genre de scénario, que MOUTINGA et son réseau, tirent les leçons de la tentative manqué au Burundi.
Au finish, il n'y avait pas plus Inconscient que l’auteur du livre : « la République des inconscients », Modeste MOUTINGA.
Découpage territorial en RDC :
la Société civile « pas convaincue » par la réponse du Premier ministre au « recours préalable en annulation des Décrets du 13 avril 2015 »
La société civile dit n’être « pas convaincue » par la réponse du Premier ministre Augustin Matata Ponyo au « recours préalable en annulation des Décrets n°015/005 du 13 avril 2015 déterminant l’organisation et le fonctionnement des Commissions d’installation des nouvelles provinces en RD Congo et n°015/006 du 13 avril 2015 portant nomination des membres des dites commissions » que Me Fabrice Kamala, avocat et membre de l’Asadho, lui a adressé le 5 mai 2015.
Le chef du gouvernement congolais avait deux mois pour répondre à cette action républicaine qui ne visait rien d’autre que le respect de la légalité au sommet de l’Etat et la prévention des crises interinstitutionnelles.
« Ayant réuni son collège des juristes, le Premier ministre a réagi aux arguments de Me Fabrice Kamala mais sans les rencontrer ni en faire chancelle un seul d’entre-deux. Dans sa lettre numéro CAB/PM/CJFAD/M.N/2015/3274 du 22 mai 2015, M. Augustin Matata Ponyo charge son Directeur de cabinet de +faire observer que la Constitution du 18 février 2006 a déjà créé les nouvelles provinces en son article 2 et que la Loi de programmation promulguée en date du 28 février 2015 devant simplement déterminer les modalités de leur installation (article 226)+ », indique la société civile.
Elle qualifie de « belle esquive » la réponse du chef de l’Exécutif congolais, considérant que « tous les tenants du découpage +à la va vite+ se cachent derrière la Loi Fondamentale pour justifier l’injustifiable ».
Défi au parlement
« En affirmant que la Loi de Programmation ne doit +simplement+ que déterminer les modalités d’installation des nouvelles provinces, ne serait-il pas en train de minimiser un acte législatif pris par le parlement de la République et situé au-dessus de ses Décrets incriminés ? N’ya-t-il pas quelque chose d’incommode et d’arrogant pour une autorité du pouvoir exécutif de minimiser un acte relevant d’un organe dont il est lui-même l’émanation ? », s’interroge la société civile.
Et d’ajouter : « Les +modalités d’installation des nouvelles Provinces+ ne sont-elles pas des actes techniques très délicats qui doivent respecter le principe de la légalité dont la violation par le Premier ministre est aujourd’hui tant décriée par la Société civile ? ».
Le recours de Me Fabrice Kamala s’est assis sur plusieurs moyens de forme et de fond que le Premier ministre a essayé d’esquiver en se repliant derrière des arguments politiques aussi généraux que nuageux.
En effet, l’avocat membre de l’Asadho a fustigé, notamment, « le non-respect du délai de la prise de décrets attaqués tel que prescrit par la Loi (article 15) ; l’inexistence des commissions règlementées par le décret car ceux-ci n’ont jamais été créées ; l’illégalité des décrets incrimines pour cause d’excès de pouvoir à travers l’extension des missions des commissions en violation de la Loi ; et la confusion entretenue par les deux Décrets sur l’organe habilité à recevoir les rapports des Commissions ».
« Aucun des moyens soulevés de manière pertinente par Me Kamala n’a été rencontré par la Primature qui s’est contentée de poursuivre : + le débat sémantique sur les termes utilisés dans ladite loi ou dans les décrets est inopportun au regard des résultats attendus endéans les 120 jours qui courent dès l’installation des commissions +», soutient la société civile.
En d’autres termes, le débat sur le respect de la légalité est inopportun face aux agendas politiques qui veulent que dans les 120 jours qui suivent l’installation des commissions, les nouvelles provinces soient opérationnelles.
Décor du glissement ?
« Ne devrions-nous pas lire dans cette obstination du Gouvernement à installer dans la précipitation les nouvelles provinces même si cela doit se faire au prix de la violation des Lois de la République, une intention manifeste de favoriser le glissement au regard des désordres qui risquent de s’en suivre et de la faillite de l’Etat en cours d’instauration ? », s’interroge encore la société civile.
A son avis, « le respect de la légalité devrait guider les autorités exécutives dans les actes qu’elles sont appelées à poser au quotidien parce que, lorsque la légalité est piétinée et défiée au profit des manœuvres politiques, le peuple a des bonnes raisons de s’inquiéter ».
Elle note que « le silence du Gouvernement face aux remarques pertinentes de l’ancien Premier ministre Adolphe Muzito et du Député de la majorité Christophe Lutundula renforcé par cette incompréhensible obstination du Gouvernement à marcher sur les Lois de la République malgré la sonnette d’alarme de la société civile ne peut que renforcer les soupçons ».
Ce qui la pousse à demander : « La formule du glissement par découpage interposé serait-elle en pleine application ? De qui se moque-t-on ? ».
Qu’en pense la Cour suprême siégeant en matière administrative ?
La procédure du recours préalable initiée par Me Fabrice Kamala étant « pré juridictionnelle », la société civile se fonde sur le droit.
« En matière administrative, lorsqu’un citoyen se sent lésé par un acte administratif pris par une autorité exécutive compétente, il doit, avant de saisir le juge administratif pour demander l’annulation de l’acte, s’adresser au préalable à l’auteur de l’acte qui a l’obligation de lui répondre dans les deux mois qui suivent la réception de la requête. Lorsque la réponse de l’auteur de l’acte n’est pas satisfaisante, le requérant est en droit de saisir le juge pour demander l’annulation judiciaire de l’acte incriminé », rappelle-t-elle.
Par conséquent, le dernier tour de manche qui reste à la société civile « jusqu’à la fin du mois de juin est de saisir la Cour suprême de justice par une Recours en annulation pour illégalité ».
De Goma où il séjourne, Me Fabrice Kamala a déclaré au téléphone être « déçu par la réponse du Premier ministre » et s’« apprête à descendre bientôt à Kinshasa afin de saisir la plus haute juridiction et demander l’annulation des Décrets illégaux ».
« Dans un Etat de droit, la légalité doit primer. Marcher sur la légalité au nom des préceptes politiques, c’est piétiner notre Constitution qui place les actes législatifs au-dessus des actes réglementaires. Je vais bientôt me rendre à Kinshasa où je compte saisir la Cours suprême de justice faisant office de Conseil d’Etat afin de faire annuler les deux Décrets illégaux et de faire primer le respect de la légalité dans notre pays », a-t-il annoncé à la presse.
Dans son entendement, « ça nous éviterait des crises institutionnelles qui se cachent derrière ces deux Décrets rendus illégaux et ambigus à dessein ».
Dialogue politique : Kabila consulte samedi mais l’opposition radicale boycotte
Dialogue politique : Kabila consulte samedi mais l’opposition radicale boycotte
(KINSHASA)- Après la ronde effectuée par le patron des renseignements, Kalev Mutond dans différents quartiers généraux de l’opposition, le président Joseph Kabila débute samedi les consultations avec les
forces sociopolitiques du pays. Le chef de l’état va recevoir d’abord les chefs des confessions religieuses, ensuite les acteurs de la société civile, les diplomates pour terminer avec la classe politique- leaders de l’opposition en premier et ensuite ceux de la majorité. L’ordre pourra être interverti, apprend-t-on des sources concordantes. La claque vient de l’opposition radicale incarnée par le cartel Unc-Mlc-Mpcr-Mlp-Atd-Envol-Cedr. Les leaders de ces partis en tête Kamerhe ont rejeté l’offre de Kabila. Pour Vital Kamerhe qui s’exprimait devant une foule immense vendredi à Bukavu, il n’est pas
question de dialoguer à moins de deux ans des élections. ‘‘Le temps de dialogue est dépassé. On ne veut pas organiser le dialogue pour glisser, je vous dis que ça ne passera pas. Le 20 décembre à minuit,
le pouvoir de M.Kabila est terminé et il doit céder le pouvoir au nouveau président élu’, a rappelé Kamerhe sous un tonnerre d’applaudissements. La priorité, dit-il, c’est plutôt la sécurisation
des populations de Beni et la libération des prisonniers politiques.
Bukavu était débout pour accueillir VK. Annoncée pour vendredi, la série des rencontres initiée par le président Kabila a été finalement renvoyée pour samedi à 13 heures, indique une source à la présidence
de la république. Même un proche de Kalev a confirmé l’information à la presse internationale qui a été conviée à la manif. Qui seront là ?, s’est demandé un opposant radical. Le camp Félix-Lisanga-Mbikayi
sera présent. Le dialogue a été demandé par l’opposition mais on ne voit pas pour quelles raisons, il faut le refuser aujourd’hui, a indiqué Steve Mbikayi, le porte-parole de l’opposition nationaliste.
L’aile Kamerhe-Vuemba-Diongo-Fayulu-Sesanga-Bazaiba n’y prendra pas part, a prévenu l’opposant Jean Claude Vuemba.
KENGO S'ENVAT, DOUCEMENT MAIS SURMENT...
Sénat : plénière hier sur fond des 80 ans d’âge de Kengo
Trois ministres. Le ministre des finances, le ministre du Commerce et celui des Mines étaient présents hier à l’assemblée plénière du Sénat pour répondre aux préoccupations soulevées, 72H auparavant, par les sénateurs après la question orale avec débat de leur collègue Mutamba Dibwe sur la problématique de la gestion minière en RDC.
Pendant plus d’une heure, les membres du gouvernement se sont époumonés, chiffres à l’appui, pour venir à bout des préoccupations des sénateurs dans un auditoire qui avait refusé du monde.
Kengo wa Dondo souffle sur ses bougies
L’important rendez-vous relevant des pratiques parlementaires à pratiquement été étouffé par un autre événement et non des moindres. Le quatre-vingtième anniversaire de naissance de Léon Kengo wa Dondo, président du sénat. Pour lui conférer un autre caractère, l’événement a été célébré dans la salle des banquets prise d’assaut par une foule nombreuse.
La famille Kengo, conduite par Maman Kengo, l’épouse du président, était aux premières loges. Les membres du bureau du Sénat conduits par le 1er vice-président du bureau, Edouard Mokolo wa Mpombo étaient eux aussi logés à la même enseigne.
La fête va cependant démarrer, ¾ d’heures plus tard du moins dans sa partie protocolaire. Lorsque le président Kengo a fait son entrée dans la salle, escorté, par une équipe rapprochée, sous des applaudissements nourris du public. Immédiatement après l’annonce du programme, la Chorale Mgr Luc Gilon ouvre le ban. Le secrétaire du Sénat qui prend le premier la parole évoque le livre des psaumes au premier verset chapitre 90 qui déclare le nombre de nos années s’élève à 70 ans. Les plus robustes à 80 ans. Devenir octogénaire est une grâce de l’Eternel. Mais l’un des privilèges de la vieillesse, c’est d’avoir tous les âges. On peut être jeunes à 80 ans et vieux à 30 ans: Le SG n’a pas manqué de mentionner les réalisations sociales du président Kengo en ce qui concerne notamment l’amélioration des conditions sociales des sénateurs et du personnel de carrière.
Succédant au S.G. au micro, le doyen de la chambre haute Yerodia Abdoulay Ndombasi a noté que l’accomplissement d’un tel âge, ne peut être que l’expression de la grâce… divine. En rappelant que le temps passé par Kengo wa Dondo représente le 1/10e de sa vie, Lancien Vice Président de la République a salué le parcours satisfaisant du Président du Sénat.
La troisième étape a été marquée par la remise des cadeaux aussi bien des Sénateurs que du personnel d’appoint. La plupart représentés par des tableaux valablement expressifs.
Vint ensuite la projection du film témoignages sur la vie du président Kengo du Sénat. Qualifié de personnalité légendaire, Kengo avait souvent porté la casquette d’un homme de poigne mais qui sait allier la sévérité à la courtoisie et la simplicité.
Enfin le clou de la manifestation avant le copieux repas offert au public, a été le mot du président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo. Vous m’avez comblé de joie, vous tous, a-t-il martelé en démarrant son discours par une allégorie en disant : « Comme à l’église catholique on appelle pâques, la fête, aujourd’hui, c’est la fête des fêtes.
Le président a rappelé qu’ils sont arrivés au Sénat en 2007. Ce fait selon lui, une école de grande modestie et de l’humilité. A ses collègues du bureau il a rappelé que “ si nous ne créons pas de liens interpersonnels qui survivront, nous avons perdu notre temps. A tous, il a réitéré ses remerciements en faisant remarquer que tous les discours prononcés à cette manifestation ont un dominateur commun. Ils sont dytirambiques et élogieux. Le personnel de carrière lui a offert un cadeau « Admultos Anos » « Puissiez-vous vivre encore durant de nombreuses années “, disaient les Romains.
Par G.O.
RDC: UN SENATEUR POUTCHISTE !
UN SENATEUR POUTCHISTE !
Des révélations troublantes d’un agent des services de renseignements belges d’origine rd congolaise font état d’une tentative de coup d’état avenir en république démocratique du Congo. En effet, le Sénateur MOUTINGA qui s’organise depuis un bon bout de temps serait sur le point de passer à l’action.
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Selon l’agent des services renseignements belges d’origine rd congolaise qui a infiltré le complot : « le sénateur MOUTINGA a multiplié les voyages vers la Belgique ces dernières années avec un objectif claire, arraché le pouvoir par la force » et pour ce faire il s’est donné les moyens, après avoir occupé pendant près de dix ans la fonction de rapporteur du bureau du Sénat, après avoir installé l’entreprise commerciale startime de manière mafieuse (des millions de dollars échapperait au fisc congolais chaque mois), il s’est créer son réseau notamment avec les Canadiens de FIRST QUANTUM pour ne cité que ceux la.
En effet, toujours selon l’infiltré : « MOUTINGA a rencontré NGWANDA a chacun des ces voyage effectué en Belgique » et la répartition des postes est déjà acté : « MOUTINGA Président, NGWANDA Premier Ministre, le Général MOUNENE Ministre de la Défense, François BEYA KASONGA Ministre des affaires étrangères et John TSHIBANGU chef d’état major ».
« La machine du sénateur est bien huilé, il a pensé a tout » affirme notre source. « Son fils Christian MOUTINGA, (un combattant) est un délinquant multi récidiviste bien connu des services de police de Bruxelles, qui joue le rôle de relais entre le Sénateur et NGWANDA, c’est par ailleurs a ce titre qu’il aurait joué sa partissions dans l’agression du Président du Sénat LEON KENGO WA DONDO a Paris en 2013, sur les informations lui fourni par son père le sénateur MOUTINGA. » révèle l’agent de renseignement belge.
Le Congo et l’Afrique n’ont pas besoin de ce genre de scénario, que MOUTINGA et son réseau, tirent les leçons de la tentative manqué au Burundi.